samedi, novembre 28, 2009

tous réunis

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vendredi, novembre 20, 2009

20 km au soleil au dessus de Meounes


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vendredi, novembre 13, 2009

22 km prés de la Sainte Baume : la brume au rendez vous!

visite des glaciaire de Mazaugues


Au coeur du massif de la sainte Baume, sur la commune de Mazaugues on peut découvrir un groupe de bâtisses cylindriques d'une qualité architecturale remarquable : les glacières.

Elles sont aujourd'hui pour la plupart abandonnées ou transformées. Certaines sont en bon état de conservation et constituent un élément important du patrimoine historique et culturel de la région. Elles étaient alors sur le territoire de la commune de Meinarguettes aujourd'hui disparue.

L'art de conserver la glace vient d'Italie. C'est Henri III qui aurait introduit "la glace à rafraîchir" à la cour de France en 1575.

Au 17° siècle apparaissent les premières glacières de la Sainte-Baume mais ce n'est qu'à partir du 19° siècle qu'elles tiendront une place importante dans la région principalement pour la conservation des produits de la pêche à Toulon et Marseille.

Le site de Fontfrège à Mazaugues, offrait de nombreux atouts. Son altitude de huit cents mètres lui procurait du froid et ses nombreuses sources assuraient de l'eau en abondance. De hauts sommets le protégeaient du vent asséchant et du soleil. Sa situation au milieu du triangle Aix-Marseille-Toulon et des chemins en bon état facilitaient le transport rapide de la glace.


La glacière de Pivaut






Les convois empruntaient deux routes. Une reliait le village de Meynarguette à Mazaugues pour ensuite rejoindre Toulon via la Roquebrussanne. L'autre menait à Signes et le Camp par le pont du Diable pour rejoindre Marseille.

Le commerce de la glace demandait une organisation complexe, des techniques évoluées et rigoureuses et des hommes de métiers. Ne travaillaient à temps complet que les gardiens, les contremaîtres et quelques ouvriers.

La main d'oeuvre saisonnière était variable. L'été, en période de débit, une cinquantaine d'ouvriers étaient employés. L'hiver on pouvait atteindre le nombre de deux cent tant il fallait agir rapidement.

Près des glacières se trouvaient des bassins alimentés par des sources. Là se formait la glace qui n'était découpée que les jours de grand froid sec.

Les surveillants, à l'aide de grosses trompes, sonnaient depuis les sommets environnants le rappel des villageois des communes voisines. Les paysans qui venaient de Signes, Mazaugues, Nans, Rougiers... étaient heureux de gagner à la morte saison, pendant une ou deux semaines, 3 francs par jour (salaire payé en 1857 pour 7 heures de travail). C'était pour eux le moyen d'augmenter leur maigre pécule, surtout si leurs récoltes de l'été avaient été mauvaises.

La glace, découpée avec des ciseaux d'acier, était chargée sur des mulets ou des charrettes (plus tard des wagonnets) jusqu'à la porte de chargement de la glacière. Il fallait une vingtaine d'hommes par charrette. On jetait la glace dans la glacière dont le fond et les cotés étaient recouverts de paille. La glace était cassée et tassée. Puis on recouvrait de paille et de planches maintenues par de grosses pierres avant de fermer hermétiquement toutes les portes jusqu'à l'été.

De Juin à Septembre on écoulait la glace. Commençaient alors les opérations de déchargement de la glacière. La rapidité de ces opérations et la durée du transport étaient déterminantes. Au coucher du soleil, le plus souvent, on ouvrait la glacière et on cassait la glace en gros morceaux qui étaient ensuite battus et pilés dans des cornues en tôle cylindriques. Ces cornues, lourdes de 300 kg, étaient hissées jusqu'à l'orifice supérieur de la glacière puis chargées, huit par huit, sur des charrettes à deux roues. Les pains de glace étaient isolés dans de la paille et acheminés jusqu'à la ville.
On ne mettait qu'une nuit pour atteindre l'entrepôt de glace de Toulon "rue de la glacière". Cette rapidité était due notamment au bon entretien des chemins.

Pendant la période d'essor qui connut son apogée au 19° siècle où l'augmentation de la population urbaine fit accroître la demande, la glace se vendait au prix du blé (jusqu'à 8,5 cts en 1897).

Les possibilités de prospérité qui s'offraient alors aux glaciers entraînèrent l'abandon du système de fermage au profit du commerce libre. Par la même les villes ne furent plus tenues d'acheter la glace de façon contractuelle. Ainsi, à la faveur du développement du chemin de fer, commença, au début du 20° siècle, l'importation de la glace alpine, moins chère, ce qui entraîna le déclin des glaciers traditionnels. Ce déclin s'acheva avec le développement des procédés physiques et chimiques de conservation de la glace et l'installation des premières fabriques de glace artificielle.

L'exploitation des glacières de Mazaugues cessa définitivement en 1905.

mercredi, novembre 11, 2009

quel beau temps pour la marche au dessus de Carqueiranne!


du fort de la Bayarde



au fort de Gavaresse
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mercredi, novembre 04, 2009

croisiere méditerannée : le grand bateau!

vacances Toussaint du 26 octobre au 2 novembre
Imaginez la musique la plus fascinante jamais conçue et transférez-la sur un navire incluant le meilleur des croisières Costa. Le résultat ? Le Costa Pacifica, mélange idéal de superbe musique et d’élégance ultime. La musique, jouée dans toutes les parties communes, a inspiré le design du navire et chaque partie est caractérisée par un type de musique différent.
Année de construction : 2009
Année de rénovation : 0
Largeur : 35 métres
Longueur : 290 métres
Tonnage : 114147 tonnes
Cabines : 1504
Capacité : 2000
Equipage : 500
Nombre de ponts : 14
Vitesse : 23 noeuds



Transfert Nice (France) - -
Jour 1 Savone (Italie) - 17:00
Jour 2 Barcelone (Espagne) 13:00 19:00
Jour 3 Palma de Majorque (Espagne) 07:00 13:00
Jour 4 Tunis (Tunisie) 13:00 19:00
Jour 5 La Valette (Malte) 08:30 17:00
Jour 6 Palerme (Italie) 08:00 17:00
Jour 7 Civitavecchia (Rome) (Italie) 08:00 19:00
Jour 8 Savone (Italie) 09:00 -
Transfert Nice (France)




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lundi, novembre 02, 2009

bien revenus de notre tour de méditerannée sur le Costa


dimanche, novembre 01, 2009

croisière méditérannée : Rome


train express de Civite Vechia à Rome

Saint-Jean de Latran

Eglise de Saint-Pierre aux liens
Le Moïse de Michel-Ange

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le capitole

Basilique Saint-Clément
elle est un exceptionnel exemple de structures architecturales datant d'époques diverses, sur mille ans : l'Antiquité classique, le Paléochrétien, le Haut Moyen-Âge, en trois niveaux superposés.




le chateau Saint-Ange
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croisière méditérannée : Rome le Colisée

La construction de cet amphithéâtre, le plus grand de Rome, débute en 72 ap. J.C. sur la demande de l'Empereur Vespasien. Ses deux fils, Titus et Domitien poursuivent sa construction qui s'achève en l'an 82. A cette époque le Colisée s'appelle alors amphithéâtre Flavien, du nom de la dynastie de ces empereurs. Le nom de Colisée n'apparaît qu'au Moyen Age, en référence à la gigantesque statue de Néron de 35 mètres (appelé colosse) situé à coté de l'amphithéâtre.

Avec ses 187 mètres de long, 155 mètres de large et 50 de hauteur, le Colisée pouvait accueillir 55 000 spectateurs avides de spectacles tels que combats d'animaux ou de gladiateurs et peut être même des batailles navales !





arc Constantin
Situé a côté du Colisée, l' Arc de Constantin a été construit en 315 pour commémorer la victoire de Constantin sur Maxence.

croisière méditérannée : Rome le Vatican